Qui suis-je ?
Je m’appelle Juliette, particienne en Gestalt-thérapie humaniste.
J’ai longtemps cru qu’il fallait faire plaisir, être parfaite, tout porter sans déranger. Aujourd’hui, je sais qu’on peut vivre autrement : plus libre, plus vivant·e, plus vrai·e.
Avant la thérapie, j’ai travaillé dans l’hôtellerie de luxe. J’y ai appris l’exigence, l’écoute, le soin du détail. Mais j’y ai aussi vu ce que l’on cache derrière les apparences. Ça m’a donné envie d’aller plus loin que les sourires polis : d’ouvrir un espace où l’on peut vraiment dire, ressentir, déposer.
J’ai grandi à la campagne, entourée d’arbres, de montagnes et de grands espaces. Ce lien à la nature me ressource profondément — il m’aide à rester ancrée, à retrouver mon rythme. J’ai également expérimenté le tumulte des grandes villes, la pression sociale, la suradaptation permanente. Je connais ces vies bien remplies où l’on se perd un peu de vue.
Je danse la kizomba pour me reconnecter au corps, au présent, à ce qui vibre. Sur la piste, tout se joue en subtilité : les élans, les résistances, les attentes. C’est un miroir magnifique des liens que l’on tisse — avec l’autre, mais surtout avec soi.
J’ai aussi été touchée, dans mon entourage, par les réalités du monde de la haute montagne — ses défis, ses silences, ses pertes parfois. Tout cela m’habite et m’aide à accueillir la complexité de chacun.
Je suis sensible aux histoires qu’on ne raconte pas. À celles et ceux qui “tiennent” bon, qui sourient, qui réussissent, mais qui se sentent loin d’eux-mêmes.
Je sais ce que c’est, ce flottement-là.
Alors ici, pas besoin d’aller bien.
Pas besoin d’avoir les mots justes.
Juste venir comme vous êtes.
Et si on commençait par là ?